Sous l’épiderme, un organisme bien pensé qui lutte instinctivement sans qu’on y pense. Plus profondément encore, un défenseur de la liberté. Un amoureux transi, ressuscité par Fabien Waltmann et Dear Leo, qui crée à nouveau le lien sans craindre que l’on se touche.
Vous pouvez, toi et Ta gueule d’ange, passer en boucle sur les réseaux sociaux ou ailleurs. Pour NSDX comme pour d’autres, la coupe est pleine mais la raison est toujours là. Rromance : mourir pour toi ne sera jamais une option. Sous l’épiderme, celui d’Aéronef, le vent du Nord souffle encore. Il porte une invitation à la Finn et au renouveau de cette émotion qui se rappelle au bon souvenir de Rocklee.
Sous l’épiderme, ces vagues et leurs turbulences qui ne trompent guère et de moins en moins. L’océan est une nature immuable. DG Solaris et Jeremy Tuplin s’y rencontrent. Quant à Kip Macklejar et Mr. Koifish, ils s’y reposent puis s’y ressourcent. Merci à toi, merci pour rien : le rythme inné d’Anna Prior bat la mesure jusqu’à cette porte déjà ouverte sur les bruits désespérés décrits par Wayne Crowe. Ces bruits ressemblent à des pleurs qui se mêlent aux efforts pour effacer les outrages. Pour entrer, sans toi, dans un nouvel âge. Un bel âge.