Sous la plume de Clément, les mots lui manquent même s’il finit toujours par avoir raison. Un nombril en guise de cœur, il fait tourner les têtes quand le monde ne tourne pas rond. Dans cette valse des pantins perpétuelle, il fait des girouettes de ceux ayant perdu le goût de lui tenir tête.
L’armée du regret de Gorgeous Wrecks est en marche. Elle jette un œil par-dessus son épaule pour constater le temps et les vies perdus. Elle reprend finalement sa route pour voir celles en sursis. Corps Météore et Noé croient que c’est parce qu’ils les ont mises en suspens. Loin d’avoir tort et d’avoir raison, ils font face, à l’image d’Andrew Celestine, aux pas glissés de la valse des pantins qui ne peuvent plus se cacher. Celle qui, comme le décrit Mansuy, s’inverse sous l’effet d’une lune bipolaire à l’instar des marées.
Pour Mountain Fire comme pour de nombreux autres, il y a quelque chose dans l’air. La lumière tombe vite selon les propres termes de Svavar Knutur. Et pas seulement en novembre. Ceci dit, elle rejaillit d’une façon ou d’une autre. Sans elle, Divine & Acajou le sait, on s’oublie. Aussi, pas besoin de parler, de penser, de boire, de fumer, de baiser. RubishKhiubb s’empresse de le rappeler à Miss Molly et à qui veut bien l’entendre. À travers l’obscurité, la suivre jusqu’au bout du tunnel pour se trouver. Pour retrouver Peter Lake et tous ceux qui nous avaient manqué.