Le songwriter californien Alex Izenberg revient vendredi 26 juillet 2024 avec son quatrième album Alex Isenberg and The Exiles, à paraître chez Weird World / Domino. Celui-ci officialise ses débuts en tant que groupe. Il dévoile onze titres imprégnés de romantisme et de tendresse, qui accompagneront idéalement les journées d’été de cette année. Et celles des autres qui lui succèderont.
Harlequin, son premier album, c’était il y a huit ans déjà. Depuis, Alex Izenberg en a sorti deux autres. Il y eut Caravan Château en 2020, puis I’m Not Here deux ans plus tard. Vendredi 26 juillet, il dévoilera Alex Izenberg and The Exiles, un quatrième opus pensé et composé afin qu’il perdure, selon les propres termes du songwriter. Installé à Los Angeles, il y a rassemblé sa troupe à l’instar de Phil Ek à la production, et de son ami d’enfance multi-instrumentiste Greg Hartunian.
Ensemble, ils ont ensuite donné rendez-vous à plusieurs musiciens reconnus, comme le claviériste de Devendra Banhart, Tyler Cash, et le guitariste pedal steel de Lana Del Rey, Connor Gallaher. Ensemble, ils ont donné vie aux idées novatrices d’Alex, animées, entre autres, « par les réflexions philosophiques d’Alan Watts, le storytelling complexe de King Crimson et les paysages imagés de Fleet Foxes. »
Alex Izenberg : être soi, être l’autre, tout à la fois
Diagnostiqué schizophrène il y a douze ans, Alex Isenberg a fait en sorte de ne jamais rien céder à la maladie, préférant sonder son intimité et celle du monde pour en révéler toute la beauté de leurs énigmes. C’est, une fois encore, le cas dans l’album Alex Izenberg and The Exiles, qui marque une nouvelle période pour le songwriter. Une période qui s’annonce déjà éblouissante musicalement, ainsi que dans les mots choisis par Alex.
Nul doute que cette combinaison finira, comme toujours, par servir la mission première qu’Alex Izenberg s’est donné depuis qu’il fait de la musique : donner l’opportunité aux gens qui l’écoutent de vouloir seulement être une meilleure version d’eux-mêmes. D’en tirer ce quelque chose qui fera et/ou appuiera toute leur différence. Mentions spéciales pour les titres The Gospel of Exiles et Dreams of Déjà Vu, qui illustrent bien le message d’Alex, la trame de son approche paraissant inaccessible, et pourtant connectée constamment à tous, plus que toujours.
Alex Izenberg : site officiel | Photo : Giraffe Studios