La chanteuse américaine Laura Zoog revient avec son troisième single DNR. Il s’agit d’un morceau qui plonge tête la première dans les suites douces-amères d’une relation qui aurait presque pu marcher. Finalement, ça ne l’a pas fait.
Basée à New York, Laura Zoog est chanteuse, auteure-compositrice et actrice. Sa musique exprime ces vérités sur lesquelles, parfois, on ne sait pas mettre des mots. Depuis le début de sa carrière professionnelle, qu’elle débuta à l’âge de 21 ans, la songwriter a tourné aux quatre coins du monde. Récemment, elle a eu l’occasion de se produire en tant que chanteuse principale à bord de la compagnie de croisières Seabourn. Avant cela, elle a enflammé les scènes en tant que chanteuse rock avec Norwegian Cruise Line.
DNR (ndlr : Do Not Resuscitate, qui signifie ne pas réanimer) est son troisième single. Elle y dévoile la douleur de désirer quelqu’un qui n’était pas la bonne personne. Et ce, même si votre cœur continue de murmurer “et si…”. Influencée musicalement par Holly Humberstone, Ariana Grande et Renée Rapp, la chanson mêle une vulnérabilité nostalgique à une énergie irrésistible. C’est le genre de morceau qu’on chante à tue-tête au volant. Une chanson sur laquelle on improvise une danse, seul dans sa chambre, les larmes aux yeux, avec une brosse à cheveux en guise de micro.
Laura Zoog : un hymne pop-rock post-rupture
“Cette chanson est pour les filles qui ont besoin d’un rappel un peu dur. On peut regretter quelque chose sans vouloir le récupérer”, explique Laura Zoog. “C’est une chanson qui célèbre les combats intérieurs qu’on mène pour oublier quelqu’un qu’on sait être une mauvaise idée, mais qu’on aurait voulu voir autrement.”
DNR est une confession pop-rock évoquant, d’une part, le chaos qui demeure après une séparation. D’autre part, les difficultés d’avancer à nouveau. Avec ses paroles poignantes et son refrain libérateur, le morceau célèbre cette croissance douloureuse mais magnifique qui survient quand on choisit de ne plus se contenter. Pour, en définitive, se choisir soi-même.
Laura Zoog : Instagram | Spotify | Sources : Moonlight PR