Quand on écoute les chansons de Grayson Graham, on perçoit son engagement, sa sensibilité et les espoirs d’une jeunesse qui a, malgré tout, perdu son insouciance. À cette jeunesse, on aimerait offrir autre chose que ces milliards de dette, pas seulement financière. On aimerait qu’elle puisse nous parler d’infinité en liberté, encore et encore.
Lucius Arthur ne sait pas comment calmer la peine de Scarlet, tout comme la sienne. Esme White se débat dans les tourbillons mémoriels de sa mère, tout comme les siens. Et lorsque Kaleida se perd jusqu’à se sentir vide, Cymo espère seulement retrouver le cocon maternel.
Encore et encore, les déchirures d’une réalité, bien éloignée de l’idée que tous s’en faisaient quelques temps avant. Encore et toujours, la sagesse du souvenir qui, des années après, permet de ne préserver que le meilleur de ce que tous vécurent.
Ce premier amour chanté par Maija Rejman. Celui qui aurait pu naître au coin de la rue, conté par Fifty Two. Celui que tout quidam recherchait alors, avec cette opiniâtreté nourrie par Louis Mezzasoma. À moins que cela ne soit celui à l’égard de soi, que Val d’Avalon et Sopycal sont, à présent, déterminées à accueillir.