David Linx a débuté la scène à 14 ans. Il met “sa peau en jeu” pour ses 40 ans de carrière. En effet, le chanteur est de retour le 18 septembre 2020 avec son nouvel album Skin In The Game à paraître chez Cristal Records.
Bruxellois de culture mais parisien d’adoption, David Linx se forma au contact de grands musiciens américains. Il est, sinon le plus grand (dixit Jazz Magazine), en tout cas, l’un des plus formidables chanteurs de jazz que l’on puisse entendre. Doublé d’un homme de scène au grand cœur. Ses premiers succès discographiques sur le Label bleu à la fin des années 90, en tandem avec le pianiste Diederik Wissels, ont définitivement renouvelé le jazz vocal. En parallèle, ils ont inspiré toute une génération de musiciens.
La discographie de David Linx compte plus d’une trentaine d’albums en leader ou en duo avec le pianiste Diederik Wissels. Il est de retour le 18 septembre avec Skin In The Game, né d’une rencontre sensationnelle. Pour ce nouvel opus de compositions originales chantées en anglais, il a réuni un combo de leaders. Jugez plutôt : Grégory Privat au piano, Chris Jennings à la contrebasse, Arnaud Dolmen à la batterie. Sans omettre, en invité de luxe, Manu Codjia à la guitare.
David Linx : à fleur de peau
Dans Skin in the Game, David Linx demeure fidèle à ses convictions et à sa démarche. Il décide de mettre en lumière, mais surtout en paroles et en musiques, la beauté et l’amour qu’il s’efforce de percevoir en ce monde. C’est le rôle qu’il s’assigne en véritable artiste. Montrer comment nous sommes tous, comme à fleur de peau, partie prenante de notre époque.
Entre ballades et titres plus rythmés, deux morceaux agrémentés de poèmes dits par Marlon Moore rajoutent une couleur de plus à l’album. En réalité, ils rappellent le premier sublime album réalisé par David Linx avec l’écrivain James Baldwin en 1987. Le titre Azadi est le premier extrait de Skin In The Game, dévoilé fin juin dernier.
David Linx : Site officiel | Facebook | Photo : Shelomo Sadak | Sources : Agence Attitude