Dynah prépare la sortie de son premier album L’eau monte. Il sortira vendredi 26 avril 2024. Après son premier EP éponyme largement remarqué en 2020, la chanteuse et musicienne est de retour, épaulée par le producteur et compositeur Nicolas Gueguen.
Elle a d’abord sorti un premier album en anglais sous le nom Melody Linhart. Ensuite, elle s’est investie sous la bannière rock du groupe Why Elephant. Maintenant, Dynah trouve son identité et affûte ses mots, en français, à travers son nouveau projet musical. Son EP éponyme s’est distingué, notamment, par plusieurs singles qui l’ont portée à 500 000 streams. Elle révèlera le 26 avril son premier album L’eau monte.
Pour ce faire, elle a pu compter sur l’appui du compositeur Nicolas Gueguen. Cette collaboration a mené à une collision entre groove et poésie, puissance électro et légèreté de la voix. Dans ses nouvelles chansons, la voix de Dynah précise, articule, découpe. Elle veut faire passer le message. Sa pop est intimiste, élégante : un pied dans le rêve, l’autre dans le réel. Elle s’inspire beaucoup de la culture pop-folk anglo-saxonne. L’eau monte séduit par ses qualités d’écriture et la précision de ses arrangements.
Dynah : la question d’un retour à la réalité
Les chansons de Dynah questionnent la féminité, la fragilité du monde, le lien mère-fille. Dans ces images, on devine des histoires qui s’articulent comme des petits miroirs de l’âme et du monde, paillettes sur la peau. Des histoires qui dévoilent plus qu’elles ne cachent.
Sur scène, Dynah s’est entourée de Manon Iattoni, déjà présente dans Ommm, ici aux chœurs et aux percussions. Il y a aussi la “grooveuse” Kahina Ouali aux claviers et aux chœurs. Ce trio lumineux et féminin alterne revendications joyeuses et émotions de l’intime.
Premier extrait dévoilé sur le web, Découpées, et sa vidéo réalisée par Pierrick Guidou. Le single évoque l’image des femmes dans les médias, la publicité et les réseaux sociaux. Sur ces canaux, il est courant de voir des “bouts” de femmes, des parties de corps, le physique en puzzle surreprésenté. Et si on assumait la féminité et l’humanité dans son entièreté ?
Dynah : site officiel | Sources : Agence Attitude