Dans son château de pierre, Daria Arkova fait frémir sa voix. Dehors, des hommes. Des blocs, ici et tout autour, qui filtrent la lumière. Histoire de ne laisser entrer que ceux qui épouseront sincèrement ses contours.
Par la Symétrie Noire de la nuit et du jour, Balbec tisse les liens qui font défaut aux autres. On y distingue des étincelles de vie, des météores et l’ironie du sort. Ainsi que les contreforts d’une bâtisse fantastique tirée des refrains de Gabba Delic. Là-bas, au large des côtes dorées des premières amours. De ces autres perdues qui hantent Larbalestier à travers les caresses fantômes d’autres dimensions. Elles se transforment en addictions fiévreuses. Souriez : Pete Byrd vous montre du doigt leur souvenirs qui restera, malgré tout. Et celles à venir, car oui, elles existent bel et bien.
L’amour, ses mélodies que l’on croit entendre mais qui ne sont que des mirages sonores. Si tant est, à l’instar de Magali Michaut, qu’on sache invoquer ce silence capable de les confondre. Dès lors, on peut y distinguer des signes. Comme c’est le cas dans les harmonies angéliques d’Emma June et Olivia Khoury. Ou bien encore, dans les échos d’Émilie Proulx. C’est le bon moment pour prendre un nouvel élan. Signé : Peter Lake. Dehors, des hommes. Des blocs, ici et tout autour, qui se disloquent par la seule force de l’émotion, de la raison et de la fascination. Aux ordures les « menus » à la carte façon fast-food, la virtualité vicieuse et les autres liaisons hasardeuses. Le flamme des Non-Essential Workers intrépides vaut mille fois l’inertie de ceux qui ne se risqueront jamais à s’y brûler les doigts…