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Tora | Now or Never

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Le groupe australien de Byron Bay, Tora, dévoilera son nouvel album Temps de Flors le 6 septembre 2024. Trois ans après A Force Majeure, et la sortie plus récente du single White Cadillac, en collaboration avec Nada Katana, il confirme sa connivence avec des sonorités pop électro d’une fluidité à en faire pâlir plus d’un.

Temps de Flors, ou le temps d’un album qui sait ravir nos oreilles de la première à la dernière plage. Ce nouvel opus signé par le quatuor Tora sent bon cet été-là. Celui qui ne s’achève jamais. Voilà sans doute ce qui vaut au band ces millions de streams, notamment sur Spotify, SoundCloud et Apple Music. Il se distingue aussi par une présence de choix dans les playlists des radios du monde entier, y compris sur les ondes de Nova en France.

Formé officiellement entre 2012 et 2013, Tora succède à un premier projet de rock indé nommé à l’époque Alice Blu. Ses membres, éparpillés au quatre coins du globe après leurs études, finissent par se retrouver à Melbourne. Ils changent de fusil d’épaule et s’illustrent par leur musique « electro-fused ». Leur premier single à voir le jour s’intitule Unobtainable. Jo Loewenthal et Tobias Tunis-Plant se collent à la composition et à l’écriture du morceau.

Tora : temps des accords et des ensembles

Très vite, Tora enchaîne les concerts et les festivals à l’instar du Great Escape Festival de Brighton au Royaume-Uni, du Fusion Festival en Allemagne, et du Canadian Music Week au Canada. Il reste constamment maître de sa créativité, ce qui lui permet de figurer aujourd’hui parmi les groupes d’électro indé australiens qui comptent. Cela lui vaut notamment de collaborer avec plusieurs artistes de renom.

Si Tobias à voler vers d’autres sphères depuis, Tora livre dans Temps de Flors l’un de ses travaux les plus aboutis. « Ne cesse jamais de faire les choses que tu fais, car j’ai envie de toi », confie-t-il dans Jigglypuff. « Ils ne pourront jamais nous arrêter. Ils ne nous regardent même pas. Nous ne pourrons jamais arrêter ça », ajoute-t-il dans White Cadillac. « Tu peux juste être honnête et me dire ce que tu ressens. Je ne veux pas qu’on me promette quelque chose si ce n’est pas réel », finit-il par confier dans Anyway. Mais à qui peuvent bien s’adresser ces confidences ? Et si elles appartenaient en définitive à toute personne qui prendrait le temps de les écouter, maintenant ?


Tora : Facebook | Photo : Ruskin Brown

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