Aux aurores, on n’est pas franchement réveillés, de quoi perdre les pédales comme le chante Olivier Marguerit.
Aux aurores, on perd aussi le nord. On s’égare entre lumière éblouissante et Pleine Lvne. Le désir bleu de Sam Dian se mue en celui de la nuit avec Henrikes à nos côtés. Dans les rues étroites de Gamla Stan, on aperçoit entre les toits la lune qui refait son apparition. C’est celle d’Alaskalaska cette fois-ci. Il est déjà l’heure de reprendre les routes d’Henry, éclairées par la lanterne de D Fine Us. Direction : une plage en noir et blanc à l’autre bout du monde. À dos de cheval, l’un de ceux domptés par Avey Tare. Ou à dos de fantaisie, l’une de celles ressemblant à un songe d’Alalá. Un songe qui se poursuit.