Il y a ceux qui sont pour et ceux qui sont contre. Ceux qui ont tout saisi et ceux qui n’ont rien compris. Et au milieu, ceux qui se réjouissent. Pourquoi ont-ils tout à gagner ? Et nous autres, tant à apprendre, encore ? C’est alors que Timsters tente un début de réponse…
Vous rêviez de vacances loin de tout ? Halte-là ! Ils n’en ont pas fini avec vous. Les embrassades sur les dunes de Skagen ou d’ailleurs attendront Meimuna. Pour l’heure, sentez peser, encore, cette chape de plomb qui vous harasse depuis des mois. Attendez que ça passe à la façon d’Osoo. Ou préférez la route en solitaire, à la manière de Mcclendon, pour tenter de leur échapper. Une chose est sûre : « Un jour, la vie reprend aussi. » Puisque c’est Mackenzie Leighton qui le dit… Oui, la vie reprend toujours ses droits. Et au passage, nous permet souvent de retrouver ceux que nous avions perdus. Il faudra bien un jour que ça pénètre dans leur cortex à tous : pas vrai Boris ?
Car, dans la poésie et l’essentiel qu’elle libère, la vie est bien plus attentive aux cœurs qui battent pour deux, comme celui de Violet Arnold. Qu’aux sempiternelles dramaturgies nauséabondes manigancées sur les plateaux télé, relayées médiocrement sur les réseaux ou dans les rues. Êtres rongés par le pouvoir, le profit et/ou par l’ignorance, le mépris de soi et des autres : Erica Nockalls les a à peu près tous dans son viseur. Djakarta : quand le temps sera venu pour eux de dépasser leur seule et petite quête d’attention. Finn : lorsque leur logique du « mort ou vif » aura disparu. Alors, peut-être, pourrons-nous être ceux qui leur montreront « The things in life that (they) can’t find […] The things that make true happiness », selon les propres mots de Black Sabbath, repris cinquante ans plus tard par Black Mental.