Si le trio Da Break a sorti début février son tout premier album éponyme, ses membres n’en sont pas à leur premier essai. Leur combinaison fonctionne, une fois de plus, et étonne : entre soul, jazz, trip-hop et esprit nineties ponctué de world music, les dix titres originaux de ce premier opus font un bien fou à nos oreilles. Une bonne raison pour ne pas manquer les prochains concerts du groupe, notamment à Paris au Hasard Ludique le 16 mars.
Une jolie pépite a montré le bout de son nez le 9 février dernier avec la sortie de son premier album : Da Break est l’une des révélations les plus prometteuses de la scène musicale lyonnaise, et même française. Né de l’union artistique du producteur multi-instrumentiste parisien Bruno Hovart aka Patchworks, de la chanteuse Jennifer Zonou aka Hawa et du batteur valentinois Rémy Kaprielan (Carla Bruni, Thomas Fersen…), Da Break fait sa place dans votre cocon sans que vous ne vous en rendiez compte.
La musique du trio est un condensé touchy de ses influences, de The Pharcyde à Mary J Blige, en passant par celles offertes par les familles respectives des trois amis, notamment celle de Hawa. Son père lui fit découvrir le R’n’B, et notamment, le titre Fight the power de Public Enemy, dès l’âge de 11 ans !
Da Break : appropriation par transition
Rock, métal, hip-hop, trip-hop, rap : les genres musicaux partagés et découverts se mélangent pour former des sonorités funky qui enchantent et qui balancent. Gotta Be Funky puisque c’est Da Break qui le dit. Give Your Love et ressentez à votre tour cette formidable énergie qui réussit par la même occasion à nous apaiser. Et ce Bad Day qui devient très vite un mauvais rêve : You Are My Sunshine, laisse-moi être aussi le tien.
Rendez-vous le 16 mars dès 20h au Hasard Ludique à Paris pour profiter de la thérapie Da Break jusqu’au bout de la nuit. Le groupe se produira en seconde partie de soirée après The Buttshakers. D’autres dates sont prévues à Reignier, Venelles, Mâcon et Bagnols-sur-Cèze.
Da Break : Facebook
